Mercurey Festival Touches Vibre Le Madrigal en son jardin

1er octobre 17h Église de Touches

Un très joli programme présentant des madrigaux anglais et italiens, et quelques divagations vers l'Allemagne, au gré de nos envies !

Dijon Les Traversées Baroques Joyeux anniversaire à nos régions jumelées !

6 octobre 2023 18H30 Musée des Beaux-Arts de Dijon

1 heure

Les Traversées Baroques proposent ici un programme musical très original, tout spécialement conçu pour fêter le 20e anniversaire du jumelage de la Région Bourgogne-Franche-Comté avec les régions jumelées : la Bohème Centrale en République tchèque, la Voïvodie d’Opole en Pologne, et la région Rhénanie-Palatinat en Allemagne. S’y mêleront donc des musiques baroques venues des archives musicales de chaque région, vous découvrirez des compositeurs tels que Mazak, Lambert, Förster, Eisenhut, Harant, et d’autres encore, s’y côtoieront, pour un véritable voyage musical à travers la culture européenne des 16e et 17e siècles. Venez fêter avec nous cette amitié tant musicale qu’internationale entre Français, Allemands, Tchèques et Polonais !

Dijon Les Traversées Baroques, Musique au musée Les musiciens hors les tableaux au MBA !

7 & 8 octobre 2023 Musée des Beaux-Arts de Dijon

Une randonnée musicale au musée des Beaux-Arts, pour une autre écoute des œuvres musicales et picturales... 1H

Dijon Musique en Ville Ortus de Polonia - Choeur Angelus Cantat, Les Traversées Baroques

15 octobre 17h00 Église Saint-Michel, Dijon

Les splendeurs de la polyphonie polonaise, Mikolaj Zielenski, 18 musiciens des Traversées Baroques, et les jeunes chanteurs du chœur Angelus Cantat (T. Eckert) entrée libre 45 minutes

Venise, 1611 : un ouvrage exceptionnel est édité cette année-là dans la Sérénissime, celui de Mikolaj Zielenski, compositeur polonais. C’est une musique splendide, qui regroupe des polyphonies à double et triple chœurs, et mêle les voix et instruments à vent – cornets, sacqueboutes, basson – à l’orgue. Venez découvrir ces splendides polyphonies flamboyantes venues de Pologne ! Un concert qui fait suite à la tournée polonaise des Traversées Baroques en septembre dernier : nos 18 musiciens seront bien sûr rejoints par les 24 jeunes chanteurs du chœur polonais Angelus Cantat, tous placés sous la direction d’Etienne Meyer.

Dijon Musique en Ville Carte blanche à Frédéric Mayeur

15 octobre 15h30 Église Notre-Dame, Dijon

entrée libre 45 minutes

L’orgue Jean-Baptiste Ghys de l’église Notre-Dame de Dijon, inauguré en 1895 par l’organiste Léon Boëllmann, demeure à l’heure actuelle un des plus beaux ensembles sonores de la ville. Ce moment musical donné par Frédéric Mayeur, organiste titulaire de la cathédrale de Dijon, permettra de faire entendre certaines des plus belles pages de musique symphonique composées par les plus grands compositeurs pour orgue des XIXe et XXe siècles…

Dijon Musique en Ville Carte blanche à Tadeusz Eckert - Choeur Angelus Cantat

15 octobre 14h Église Saint-pierre, Dijon

entrée libre 45 minutes

Nous sommes enchantés d’accueillir le chœur polonais Angelus Cantat, qui vient tout exprès d’Opole. Ces jeunes chanteurs seront placés sous la direction de Tadeusz Eckert, qui nous proposera une escapade musicale pour voix a capella, avec des œuvres venant des pays d’Europe de l’Est : de véritable petits bijoux d’interprétation ! Ce concert verra également la rencontre de ces jeunes Polonais avec le jeune chœur de la Maîtrise de Dijon pour quelques unes des œuvres interprétées : un magnifique moment de partage musical en perspective !

Dijon Musique en Ville Une vipère en cuer - Ensemble Palin(e)

15 octobre 11h Musée archéologique

entrée libre 45 minutes

Au Moyen-Âge, l’homme et l’animal entretiennent des rapports différents de ceux d’aujourd’hui, tous deux partageant un quotidien et un même environnement. Les bêtes y sont représentées dans des récits historiques, fabulaires ou narratifs. Des Métamorphoses d’Ovide, en passant la Bible, le Roman de Renart ou encore Fauvel, jusqu’à plus récemment aux Fables de La Fontaine, les caractères humains stéréotypés sont attachés à certains animaux. Ce programme musical évoque les reptiles : l’aspic, le serpent, la vipère, le scorpion, l’iguane. Un excellent moment en perspective en compagnie de la soprano Maud Haering, de Luc Gaugler à la vièle, et d’Olivier Camelin à l’organetto.

Dijon Musique en Ville Rencontre Gourmande

15 octobre 12h30 Salon de l’hôtel du Conseil Départemental (41 rue de la préfecture)

10€

Sarrebourg Rencontres musicales de Saint-Ulrich La Morte vinta, Marc'Antonio Ziani, enregistrement discographique

Du 21 au 25 octobre Chapelle des Verriers, Vallérysthal

LA MORTE VINTA  MARC’ ANTONIO ZIANI  Création 2023
La Mort vaincue sur le Calvaire. Chanté au Très Saint Sépulcre de la Cesarea Capela du très auguste empereur Joseph Ier. Le soir du Vendredi Saint. L’année 1706. Mise en musique par le Signor Marc’Antonio Ziani, vice-maître de chapelle de S.M.C. Vienne, Autriche, ci-après les Heredi Cosmeroviani de l’imprimerie de S.M.C. 
S’introduit le Démon – lequel étant d’une certaine manière la cause du péché originel, en est arrivé à être également indirectement la raison de la Passion du Christ, sans laquelle le monde n’aurait pas été sauvé du péché même – qui se réjouit de la mort du Salvateur, et s’en attribue la gloire. Ce faisant il est interrompu par la Mort, laquelle dit qu’une partie de cet honneur lui est également dû, ayant réduit à la mort un homme qui se vantait d’être la vie elle-même. Pendant qu’ils se glorifient, et menacent, la Nature Humaine pleure acerbement la mort de son Salvateur, et est aussitôt injuriée, et menacée par le Démon de ne pas avoir été rachetée. Survient alors la Foi, pour confondre le mensonge malveillant du Démon, lequel continue pourtant à montrer qu’il ne croit pas à la valeur de la Rédemption. Sur ces entrefaites, arrive l’âme d’Adam, lequel, en tant que premier Père de tous les hommes, console la Nature Humaine de l’angoisse dans laquelle elle se trouve, en lui disant, qu’à ce moment là il avait été tiré par le Christ Rédempteur, ainsi que tous les autres hommes justes, du sein d’Abraham, duquel non seulement l’âme du Christ avait été enlevée, pour ensuite libérer tant d’autres âmes aimées de Lui, mais qu’en plus elle avait franchi les portes de l’enfer lui-même pour mettre en déroute les démons et damnés dans le faste de son triomphe; Et qu’enfin ce serait Jesus, avant que trois jours ne se soient écoulés, qui ressusciterait, ainsi qu’il l’avait promis, pour persuader le monde, que la Mort avait été vaincue par lui sur le Calvaire.