Le but de ces ateliers est de réaliser une exposition, qui prendra la forme d’une installation. En partant de la première image du film (une rue et sa perspective), de grandes façades en carton vont être réalisées (peintes en gris, noir et blanc). On pourra rentrer dans certaines de ces façades (portes, fenêtres). Une colonne Maurice pourra être ajoutée. Un système de diffusion musicale sera ajouté, de manière à diffuser soit la musique de notre ciné-concert, soit la musique de ce que certains auront improvisé (et que nous aurons enregistré sur le vif). Une multitude de ballons de toute sorte et de toute matière seront suspendus au dessus de la façade et dans le ciel.
Ces grandes façades grises, noires, blanches seront remplies peu à peu de tout le travail des enfants qui sera, lui, très coloré. Voici les détails des différents projets réalisés par les quatre classes :
– Travail de la fenêtre à la façon de Matisse ou de Picasso (intérieur extérieur). Street art à la manière de Ben (écriture sur les façades.)
– Travail sur les affiches. Fausse colonne Maurice, affiches créées par les enfants avec des produits d’aujourd’hui.
– Travail sur les ballons (fabriqués en carton, dessinés, etc) : messages d’amitié, ballon écriture, pochoirs, ballon cœur, chat, etc…
– Travail sur la gourmandise : une vitrine, avec des éléments (boulangerie, gâteaux, etc).
– Le voyage, La cité idéale : imaginer, au bout de cette rue, un autre univers, une autre ville (représenter là où va l’enfant – à connecter avec un travail d’écriture sur une suite possible du film )
– Les toits : la vue de la ville par le haut, par le regard du ballon.
– Le chemin de l’école : travail d’écriture, puis faire une sorte de BD où les enfants pourraient raconter ce qu’ils font tous les jours quand ils vont à l’école. Partir de leur quotidien pour inventer un autre chemin de l’école.
– Flipbook : sur la poursuite, et tous les moments rapides (poursuite des enfants, course après le bus, marché aux puces, etc)
– Dans la rue de l’exposition : parapluies (à customiser) / Magritte
JudithLe Baroque fait son cinéma !