Kaspar Förster, un compositeur à l’imagination foisonnante… Plus encore que dans les deux précédents volumes, et au delà de l’Italie dont l’influence esthétique régna jusqu’aux rives de la Baltique, on se trouve en présence d’un musicien novateur pliant à sa volonté créatrice le stylus phantasticus.
« L’interprétation est de premier ordre, tant en ce qui concerne les instruments que les voix : part belle est faite aux deux cornets et aussi à la dulciane, et la basse de Renaud Delaigue impressionne dans l’hymne Jesu Dulcis Memoria » | Marc Vignal •
« Une parution hautement recommandable, non seulement pour le répertoire de qualité et, sauf erreur, très majoritairement inédit qu’il donne à entendre, mais également pour la très grande tenue musicale avec laquelle il nous est offert. » | Jean-Christophe Pucek • Wunderkammern
« Sans hésiter, cet enregistrement marqué par l’inédit et l’originalité, et servi par des interprètes expérimentés et talentueux est l’une des plus belles joies discographiques de l’automne. » | Richard Holding • Musica Aeterna
« La direction d’Étienne Meyer, très souple, aux phrasés remarquables, impose une belle dynamique. L’équilibre entre voix et instruments est proche de la perfection. Quelle sera la prochaine surprise ? » | Eusebius • Musicologie.org
Anne Magouët soprano • Paulin Bündgen alto • Martial Pauliat ténor • Renaud Delaigue basse • Judith Pacquier & William Dongois cornettini • Stéphanie Erös & Josephe Cottet violons • Matthias Müller viole de gambe • Mélanie Flahaut dulciane • Pierre Gallon & Laurent Stewart orgue, clavecin • Etienne Meyer direction